Après avoir « testé » le concept une quinzaine de jours, la politisation du scrutin municipal est maintenant reléguée au second plan, au moins pour le chef de l’Etat, selon un article d’hier dans le Figaro
Les sondages (en particulier dans l’électorat « de droite » ) seraient-ils passés par là ?
Il n’en reste pas moins prêt à faire un petit crochet, au nom de « l’amitié » - qu’elle date de trente ans ou un peu moins - par Bordeaux et Pau, où François Bayrou a dénoncé la « gabegie d’argent public » de ce déplacement.
De toute façon, à Nogent, la situation et le vaste panel des candidats sont tels qu’il reste peu d’espace pour une politisation artificielle.
23/01/2008
Dépolitisation
Publié par
Nicolas Mauduit
à
21:21
tags: politisation
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